Les plus belles phrases de Monsieur ....

allez va jouer au ballon

allez les hommes maintenant ......

....... quel beau métier quand même !..

... ça leur fait super mal aux doigts !

chacun son metier ....

MERCI POUR LA BONNE SOIREE!!!

Vous connaissez la fin ?

bon ben ciao alors .....

C'est drole en general et triste en particulier ....

Vous êtes comme les enfants, vous connaissez l'histoire, mais il faut que l'on vous la raconte quand même!

"un jour de mauvais temps....un jour de mauvais temps...pis encore un jour de mauvais temps....pis un autre jour de mauvais temps...on est en Bretagne la ou quoi?"

Cette petite bête là, je l'AIME!!!

on est à Nantes quand même!!
il a grêlé deux fois cet après midi!! (le 17/02/06)

moi ce qui me ferait plaisir c'est que vous dansiez là devant moi .... mais ce que je veux tout le monde s'en fout alors ..... ( montreal, je sais plus quel soir )

"et pour rendre hommage à ce genre, j'en ai écrit un"

(Thotho introduisant son slow "ma reveuse")

ok mais on garde Zaza

c'est sure qu'on vient pas pour le climat .... mais bon y a plein d'autre choses ici ... ( avec son air entre deux airs )

l'évocation de mon nom faisait trembler la veuve et l'orphelin... surtout la veuve!

un fan: - THOMAS JE T'AIME
Thotho: - C'est toujours bon à prendre!

La foule timide: rititiii ratataaaa

Thomas: Plus fort sinon je me barre!

La foule déchainée: RITITIIIIIII RATATAAAAAAA

Thomas (avec l'air innocent) : Quelqu'un a dit mon nom?



* La foule ne connaissait pas encore la chanson, mais elle apprend vite

très sympa celle-là!

(intro diane de poitiers)
veux tu prendre la moitié de mon lit si t'as sommeil ?

une voix d'homme : OUI

Thomas : bonsoir monsieur, bienvenue .... ça ne vous dérange pas si je garde mes chaussettes?

(Nantes ... toujours le 17/02/2006!)

thotho:

Citation :

Ce genre de choses ne m'arrivaient jamais quand j'étais facteur

Montréal 2004

J'ai raté l'arrêt.Ainsi je resterai Pendu par la main Dans les transports en commun.
Je finis ma nuit Sur la barre d'appui, Sauf si l'on prend mon pied Pour un vieux papier.

La foule Est mon berceau. Je me dépêche vers toi À l'heure où l'on s'écrase.
Elle appuie de tout son poids, Mais la foule est courtoise. Je reçois l'accolade
Des camarades.

Je me rends, mains en l'air, Par le funiculaire, Vers la chaude prison
De ta combinaison.